Découvrir et séjourner en Corse sur la côte des Nacres chez Monte Marina à Tarco

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Petit aperçu de la faune corse

"Quand la terre sera usée, l'humanité déménagera dans les étoiles." Gustave Flaubert
"Le parfum de l'aubépine n'est pas inutile aux étoiles." Victor Hugo
"Va prendre tes leçons dans la nature." Leonard de Vinci

Comment préserver la planete ?


Le gypaète dit un jour à l'aigle : Si j'avais le courage de compère aigle, je mangerais la vache et son veau.
L'aigle répondit : Si j'avais la force de compère gypaète, je mangerais le troupeau et son berger.

Le gypaète barbu


On le rencontre à partir de 1000 m d'altitude dans la vallée de l'Asco, du Tavignano et de la Restonica. C'est un excellent planeur qui se nourrit de charognes et d'os qu'il avale entier. S'ils sont trop gros pour être avalés, le Gypaète peut les projeter du haut des falaises et se nourrir ainsi de leurs fragments. Il est difficile d'observer son habitat situé dans des renfoncements de parois rocheuses. La femelle ponds 2 oeufs fin janvier et couve jusqu'à fin mars environ mais elle n'élevera qu'un seul petit. C'est un animal fragile qui supporte mal l'exploitation de la montagne par l'homme.

Son avenir est très menacé.

Long: 110 à 115 cm, envergure : 265 maximum
15 couples recensés en Corse dont 2 à Bavella





aigle royal
L'aigle royal


En vol l'aigle royal se distingue par ses ailes assez larges et longues et sa tête proéminente. S'il habite sur les hauteurs, il n'hésite pas aussi à venir chasser dans les alpages. Contrairement à la légende ses proies ne dépassent guère 1 kg. C'est un grand prédateur de lièvres et de jeunes mouflons. Ses exercices de plongeons qui avoisinent les 200 km/h sont impressionnants.
Habitat: falaises de haute altitude Long: 95 cm; envergure: 227 cm maximum.
24 couples sont recensés en Corse



balbuzard pêcheur
Le balbuzard ou aigle pêcheur


C'est un curieux rapace se nourrissant de poissons. Il plane entre 20 et 35 m au-dessus de l'eau et peut disparaître entièrement sous l'eau lors de sa plongée. Il reprend immédiatement son vol en secouant ses ailes qui ne sont pas imperméables. Des proies de 2 kg ne lui font pas peur. Il niche dans les pins ou les sapins qui ont des branches mortes. Le nid, qui sert plusieurs années de suite, est constitué de bruyères et d'herbes. La femelle pond trois oufs et couve 35 jours. Le mâle, quant à lui, rapporte trois à cinq poissons tous les jours à sa petite famille. C'est une espèce qui a presque disparu de Corse ; on n'y compte plus que 25 couples environ


 

charognard de nos plaines

Le milan royal

Nicheur jusqu'à 1400 m, c'est le plus facilement identifiable des rapaces du ciel corse, grâce à sa couleur brun-roux, à sa queue fourchue et à ses ailes fines et coudées.

Il atteint 1,50 m d'envergure. Il plane très souvent à la recherche de sa nourriture, constituée de petites proies et de charognes. Affectionnant les étendues ouvertes, il se fait plus rare en mileu boisé.

 




mouflon corse
Le mouflon


Le mouflon corse est une sous-espèce endémique à la Corse. Il faut être patient pour en apercevoir, les mouflons se réfugiant dans les montagnes, notamment dans les réserves du Cinto et de Bavella. Actuellement, le cheptel est estimé à environ 500 têtes. Cousin du mouton mais version sauvage, le mouflon est emblématique des sommets corses. Le mâle se distingue bien de la femelle par ses cornes en spirale et son poitrail noir. Farouche, on peut l'observer principalement dans les massifs du Cinto, Bavella et Bonifatu. Herbivore, il se nourrit d'aulnaie, d'arbousier et de diverses graminées.

L'animal est appelé u muvrinu en corse, ce qui a inspiré un célèbre ensemble polyphonique, I muvrini.




chocard
Le chocard


Apparenté au corbeau, le chocard à bec jaune se rencontre facilement sur les hauteurs des montagnes de Corse. Présent notamment au sommet du Cinto et Bavella, il se déplace bruyamment en bande et joue avec les courants aériens à proximité des randonneurs qui marquent la pause, à la recherche de quelques restes de nourriture. Il se déplace volontiers vers la vallée pour se nourrir, mais réintègre aussitôt son habitat préféré : les grandes parois rocheuses.
En été, il se nourrit principalement d'insectes et de baies sauvages. Son envergure atteint les 70 cm et sa grosseur rappelle celle du corbeau bien qu'il se distingue nettement de lui par un bec jaune et des pattes rouges.

C'est la plaie des grands planeurs (gypaete, aigle, vautour,...)

 



A malacella, quand'ella ci hè quessa, hè annata di miseria. - La choette annonce une année de misère.
Le hibou petit duc - Ciocciu


Ce rapace nocturne pas plus gros qu'un merle se distingue mal dans les arbres. Son plumage se confond parfaitement bien avec son environnement. Le jour, il reste blotti dans un creux d'arbre. L'air grincheux, les yeux de couleur orange, il possède deux aigrettes sur la tête.
Il se nourrit de proies variées qu'il avale entières pour rejeter un peu plus tard sous forme de boules de poil ou de plumes ce qu'il ne digère pas. C'est un animal silencieux en vol, mais il est fréquent la nuit d'entendre son cri qui se confond avec celui du crapaud accoucheur

 



cormoran
Le cormoran


Cet oiseau de mer se distingue assez facilement de son collègue le grand cormoran par la structure et la forme de son cou : la position de la tête y est plus élevée. Il est relativement silencieux sauf pendant la période des amours. La ponte de la femelle est de trois oeufs à la fin de l'hiver. Le cormoran huppé aime les côtes rocheuses. Son vol est assez lourd et bas et il se pose maladroitement sur l'eau, mais il est un remarquable plongeur. Il se nourrit de poissons qu'il va souvent attraper à de grandes profondeurs...
C'est en Corse que s'est fixée l'une des plus importantes populations méditérranéennes de cette espèce, avec à peu près 1000 couples nicheurs.



cerf corse
Le cerf corse


Alors que le dernier "grand bois" de Corse a été abattu par un braconnier à la fin des années 1960, J.Leoni organisa sa réintroduction en Corse depuis la Sardaigne en 1985 en partenariat avec la région sarde. Conservés dans trois enclos, les premiers individus ont été mis en liberté complète en 1998 dans la région de Quenza (Corse-du-Sud). A partir de huit animaux introduits en 1985, la population s'est accrue pour atteindre 103 individus en 1998. Les animaux, provenant de Sardaigne, se sont très bien adaptés dans trois enclos de plusieurs dizaines d'hectares chacun. L'enclos de Quenza accueille 36 individus. Au début de l'année 1998, un groupe de 16 individus a été remis en liberté avec succès dans la région de Quenza.



geko corse

Le gecko


Son nom courant est Tarente, Gecko des murs.

On le trouve dans la quasi totalité de la péninsule ibérique y compris l'intérieur des terres, de l'Italie, Baléares, Corse, Sardaigne, Crète, îles Ioniennes, Grèce et Afrique du nord.

Nocturne, mais peut s'exposer au soleil surtout le matin. Il vit principalement dans les rochers, murs, murets de pierre, arbres, cabanes, maisons, pierriers, se réfugie souvent sous des planches posées au sol durant la journée Commensal ( qui vit aux dépens d'un autre mais qui ne lui cause pas de dommage) à l'homme, mais aussi arboricole. Fréquente très souvent les habitations où il trouve de la nourriture en abondance. Innofensif. Il se nourrit de divers insectes volants et rampants de petite taille.
S'observe facilement le soir autour des sources lumineuses des habitations.





euprocte corse
L' Euprocte corse


Ce petit amphibien a un corps lisse, jaune clair à brun olive, tacheté ou non de brun verdâtre. Une ligne vertébrale rouge brunâtre souligne le dos, la queue est puissante, et de section ovale. L’Euprocte n’a pas de poumons, les échanges gazeux (respiration) se font au niveau de sa peau fine et fragile, et dans sa bouche.
L’Euprocte est présent du littoral jusqu'à 2200 m d'altitude. Hors de la période de reproduction (été-hiver), il fréquente les sous bois, et les prairies près de l'eau. Pendant la période de reproduction, il préfère les petites rivières ou petits ruisseaux, rocheux avec des cailloux, aux eaux claires bien L’Euprocte est insectivore et endémique à la Corse.



pipistrelle
Les chauve-souris


Actuellement, vingt deux espèces de chauves-souris sont confirmées en Corse (pour 34 espèces en France continentale) représentant à elles seules plus de la moitié des mammifères sauvages terrestres présents sur l’île. Cette richesse spécifique est la plus importante des îles du bassin occidental de la Méditerranée : la Sardaigne en compte 19, la Sicile 18 et les Baléares 14. Cette diversité ne diffère guère de celle des autres pays du pourtour méditerranéen et son originalité tient au regroupement, dans une entité géographique réduite, d’espèces aux exigences écologiques différentes.
La Corse héberge la plus petite chauve-souris d’Europe, la Pipistrelle commune, mais également la plus grande et la plus rare, la Grande Noctule ...
De même, la Corse est la seule région française où l’on rencontre le Murin du Maghreb, une espèce cavernicole.
Bien que discrètes et très utiles, les chauves-souris n’en demeurent pourtant pas moins fortement menacées. Ce constat n’est pas propre à la Corse mais s’étend à l’ensemble du territoire national. Les causes de ce déclin sont aujourd’hui clairement identifiées. La destruction des gîtes (abandon du bâti rural, fermetures définitives des galeries de mines, abattage des arbres morts à cavités, …), la modification progressive des paysages (incendies répétés, pollution des cours d’eau, fermeture des milieux, …) et les destructions volontaires (tir au fusil, destruction au bâton, enfumage des colonies, …) réduisent insidieusement chaque jour un peu plus les territoires de chasse et les possibilités de gîtes des espèces. Ce phénomène est d’autant plus pernicieux qu’il porte sur des animaux dont le taux de renouvellement est très faible (un seul petit par an par femelle).



tortue d'Hermann
La tortue d'Hermann - A cuppulata


La tortue d'Hermann, espèce en voie de disparition.
Elle est protégée par la loi.

Il est donc totalement interdit de la vendre,
de l'acheter ou même de la posséder chez soi.

 

 




sitelle corse

La sitelle corse

Elle se tient plus volontiers vers la cime des arbres de forêts de pins laricios Pinus nigra laricio de la Corse. On la trouve entre 800 et 1500 m d'altitude. Elle a besoin d'arbres morts ou tombés à terre pour nicher. Elle habite aussi les forêts mixtes à pins laricios et maritimes (P. pinaster). Elle se nourrit de graines de pins principalement, mais aussi de petits insectes volants en été. Elle est sédentaire.

Le mâle a la calotte et le front noirs, ainsi qu'une ligne noire allant du bec à la zone auriculaire, en traversant l'œil. Le sourcil est très net et blanc. Les parties inférieures sont grisâtre chamoisé, avec la gorge plus claire. Les parties supérieures sont gris-bleu. Les yeux sont noirs. Le bec est fin et gris noirâtre. Les pattes et les doigts sont brun clair.

La femelle a la calotte bleu-gris et non noire, et la ligne traversant l'œil est grise également. Les juvéniles sont semblables aux adultes, en plus ternes. Elle se nourrit de pignons de pin et d'insectes

Elle souffre, comme beaucoup d'autres oiseaux, de sa faible population (de 2000 à 3000 couples) qui diminue à cause des incendies et de l'exploitation forestière. Elle a aussi des prédateurs comme les rongeurs et le pic épeiche qui attaquent les nids.



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